C'est le classique parisien, une sorte d'icône de la rencontre à construire.
Prendre un café c'est bien parce que :
Vous aurez autant de class que Lino Ventura ( si y'a un film dans lequel on le voit prendre un café avec un œuf pendant une enquête policière).
Le café en salle : Attention, c'est un art plus difficile qu'il n'y paraît. S'asseoir en salle impose de se poser cinq minutes : une aubaine pour se détendre si on sait si prendre; un risque de se laisser aller à la facilité voire à la déprime légère si on se laisse dominer trop longtemps par cet instant.
Enfin un risque non négligeable du café "assis" : on est obligé de parler à la personne qui est avec nous (si on est au moins deux mais c'est généralement la configuration classique du café). La encore, l'instant doit rester bref. Bien sûr, s'il s'agit d'une personne avec qui vous tenez impérativement à passer du temps c'est super de faire durer les choses au maximum mais dans la plupart des cas, faire durer un café c'est une peur à peine refoulée de l'ennui.
Le cas du Starbucks : La planque des fans d'instants café prêts à consommer ce sont les chaînes américaines Starbucks qui pullulent dans la capitale (comme dans toutes les grandes villes du monde ou presque). C'est sympa mais attention ça sent le faux plan. Ok c'est bon c'est sucré et y'a plein de "cheese cake" mais franchement pour l'authenticité on repassera.
D'après ce que j'en comprends l'esprit Starbucks c'est on se pose en salle pour glandouiller gentiment, souvent autour d'une feuille de cours.
Prendre un café c'est bien parce que :
- C'est pas cher
- c'est indémodable
- ça permet de découvrir de nouveaux endroits sans s'engager
- on s'y croit ( si si ça veut dire quelque chose)
Vous aurez autant de class que Lino Ventura ( si y'a un film dans lequel on le voit prendre un café avec un œuf pendant une enquête policière).
Le café en salle : Attention, c'est un art plus difficile qu'il n'y paraît. S'asseoir en salle impose de se poser cinq minutes : une aubaine pour se détendre si on sait si prendre; un risque de se laisser aller à la facilité voire à la déprime légère si on se laisse dominer trop longtemps par cet instant.
Enfin un risque non négligeable du café "assis" : on est obligé de parler à la personne qui est avec nous (si on est au moins deux mais c'est généralement la configuration classique du café). La encore, l'instant doit rester bref. Bien sûr, s'il s'agit d'une personne avec qui vous tenez impérativement à passer du temps c'est super de faire durer les choses au maximum mais dans la plupart des cas, faire durer un café c'est une peur à peine refoulée de l'ennui.
Le cas du Starbucks : La planque des fans d'instants café prêts à consommer ce sont les chaînes américaines Starbucks qui pullulent dans la capitale (comme dans toutes les grandes villes du monde ou presque). C'est sympa mais attention ça sent le faux plan. Ok c'est bon c'est sucré et y'a plein de "cheese cake" mais franchement pour l'authenticité on repassera.
D'après ce que j'en comprends l'esprit Starbucks c'est on se pose en salle pour glandouiller gentiment, souvent autour d'une feuille de cours.
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